Aaah... Paaaris...

Le lieu de rendez-vous avait ete fixe dans la petite ville de Senlis, bourgade du nord de Paris. Voyageant toujours seul, le vaillant Antoine s'etait rendu au lieu dit quelques jours avant, ou il put s'accorder quelques jours de repos en compagnie de la belle Marianne et de l'extravagant Chris...

Arriverent ensuite, d'un pas ferme et decide, Santiago et ses acolytes. Petanque, ris et jeux de toutes sortes contribuerent a creer une ambiance saine et joyeusement decontractee. Mais pour Santiago et Antoine, le moment du depart avancait inlassablement et prenait pour eux petit a petit le visage d'une menacante epee de Damocles.

Le lendemain matin, alors que les oiseaux chantaient la fin de l'ete, un avion decolla vers Singapour. Il etait midi vingt-cinq.

PS: Quelques problemes techniques nous mettent dans l'impossibilite de publier des images de nos deux heros pour l'instant... Mais soyez surs que des que nous aurons de plus amples informations, vous en serez les premiers informes.

BIENVENUE - WELCOME - BENVINGUTS - HALATVAPFALA - HROPIDH - KIA ORA

Ce soir-là, pâle décembre, l'hiver avait pris toute sa rudesse et la petite cité de Louvain-la-Neuve s'engourdissait doucement. Les troquets, bastions de l'amitié qui, l'été, se font terrasses et portent au grand jour l'insouciance d'étudiants fourbus, renferment en hiver, tels des écrins aux tons orangés, de jeunes gens au nez refroidi en quête d'une douce torpeur.
Ce soir-là, disions-nous, dans une brasserie qu'affectionnent tous les amoureux de bières troubles, un rendez-vous plutôt mondain avait été convenu. Deux hommes au regard de braise dont la résolution semblait défier la froidure entrèrent dans cet écrin que nous avons décrit. Ils étaient arrivés à l'avance et, par la force des choses, étaient seuls. Autour d'une première bière, ils se mirent à discuter... L'un parlait de voyage, l'autre de terres inconnues. En moins de temps qu'il ne fallut pour le dire, une résolution fut prise. L'idée d'un exil avait germé. Le compte à rebours était amorcé.

Consultez l'article de presse par monsieur Machin Truc

Tout allait bien...

Tout allait bien...Consciencieusement manipulées par des cuistots orfèvres en la matière, les patates Colruyt attendaient gentiment leur sort d'amuse-bouche...

Tout à coup, des gens se mettent à être là...

Arriva ce qui devait arriver, les cornets se sont gavés de frites, puis nous on les a ouverts et on a mangé les frites qui étaient dedans

... et le bonheur se lisait dans les regards simples de ces enfants de la vie que sont nos amis.