Le Zircon flamboyant au Pays du Long Nuage Blanc
Ce soir-là, pâle décembre, l'hiver avait pris toute sa rudesse et la petite cité de Louvain-la-Neuve s'engourdissait doucement. Les troquets, bastions de l'amitié qui, l'été, se font terrasses et portent au grand jour l'insouciance d'étudiants fourbus, renferment en hiver, tels des écrins aux tons orangés, de jeunes gens au nez refroidi en quête d'une douce torpeur.
Ce soir-là, disions-nous, dans une brasserie qu'affectionnent tous l
es amoureux de bières troubles, un rendez-vous plutôt mondain avait été convenu. Deux hommes au regard de braise dont la résolution semblait défier la froidure entrèrent dans cet écrin que nous avons décrit. Ils étaient arrivés à l'avance et, par la force des choses, étaient seuls. Autour d'une première bière, ils se mirent à discuter... L'un parlait de voyage, l'autre de terres inconnues. En moins de temps qu'il ne fallut pour le dire, une résolution fut prise. L'idée d'un exil avait germé. Le compte à rebours était amorcé.
Ce soir-là, disions-nous, dans une brasserie qu'affectionnent tous l
es amoureux de bières troubles, un rendez-vous plutôt mondain avait été convenu. Deux hommes au regard de braise dont la résolution semblait défier la froidure entrèrent dans cet écrin que nous avons décrit. Ils étaient arrivés à l'avance et, par la force des choses, étaient seuls. Autour d'une première bière, ils se mirent à discuter... L'un parlait de voyage, l'autre de terres inconnues. En moins de temps qu'il ne fallut pour le dire, une résolution fut prise. L'idée d'un exil avait germé. Le compte à rebours était amorcé.Consultez l'article de presse par monsieur Machin Truc
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